j'ai découvert un peu par hasard "malavita" de Tonino Benacquista.
c'est l'histoire d'un ancien parrain de la cosa nostra, repenti, caché en France avec sa famille par le FBI.
cette histoire dramatique est remplie d'humour, cinglante et drôle, terriblement questionnante aussi. (on s'attache à ce type alors qu'il a été un vrai salaud, un tueur, une balance)...
j'ai adoré
dès la fin de "malavita", j'ai lu "quelqu'un d'autre", histoire de voir si ça allait me plaire tout autant...
je n'ai pas été déçue.
l'histoire est totalement différente, et c'est ce qui fait aussi l'attrait de Benacquista.
on commence le livre, on ne sait pas dans quel univers on va se retrouver...
et encore une fois on n'est pas déçu.
cette fois, il s'agit de deux inconnus qui au cours d'une soirée un peu arrosée font le pari de changer de vie, sans que ce ne soit vraiment un choix . Ils se donnent rendez-vous 3 ans plus tard.
avec toujours la même verve, Benacquista décrit l'histoire de ces deux hommes, et ce que ce pari fou va provoquer chez chacun d'eux.
et encore une fois une histoire poignante, interpellante...
et je continue... (quand on aime)
je viens de commencer "trois carrés rouges sur fond noir",
en voici le résumé :
" Vous savez, on peut mêler l'histoire de la criminalité à celle de la peinture. Au début, on peignait comme on tue, à main tue. L'art brut, on pourrait dire... L'instinct avant la technique. Ensuite est intervenu l'outil, le bâton, le pinceau. Un beau jour, on s'est mis à peindre au couteau. Regardez le travail d'un Jack l'Éventreur... Et puis on a inventé le pistolet. Peindre au pistolet apportait quelque chose de définitif et radical. Et maintenant, à l'ère terroriste, on peint à la bombe, dans la ville, dans le métro. Le graffiti anonyme qui saute au coin de la rue...»
ces quelques lignes m'ont donné envie d'en savoir plus, et après 5 pages, je suis déjà accro.
c'est l'histoire d'un ancien parrain de la cosa nostra, repenti, caché en France avec sa famille par le FBI.
cette histoire dramatique est remplie d'humour, cinglante et drôle, terriblement questionnante aussi. (on s'attache à ce type alors qu'il a été un vrai salaud, un tueur, une balance)...
j'ai adoré
dès la fin de "malavita", j'ai lu "quelqu'un d'autre", histoire de voir si ça allait me plaire tout autant...
je n'ai pas été déçue.
l'histoire est totalement différente, et c'est ce qui fait aussi l'attrait de Benacquista.
on commence le livre, on ne sait pas dans quel univers on va se retrouver...
et encore une fois on n'est pas déçu.
cette fois, il s'agit de deux inconnus qui au cours d'une soirée un peu arrosée font le pari de changer de vie, sans que ce ne soit vraiment un choix . Ils se donnent rendez-vous 3 ans plus tard.
avec toujours la même verve, Benacquista décrit l'histoire de ces deux hommes, et ce que ce pari fou va provoquer chez chacun d'eux.
et encore une fois une histoire poignante, interpellante...
et je continue... (quand on aime)
je viens de commencer "trois carrés rouges sur fond noir",
en voici le résumé :
" Vous savez, on peut mêler l'histoire de la criminalité à celle de la peinture. Au début, on peignait comme on tue, à main tue. L'art brut, on pourrait dire... L'instinct avant la technique. Ensuite est intervenu l'outil, le bâton, le pinceau. Un beau jour, on s'est mis à peindre au couteau. Regardez le travail d'un Jack l'Éventreur... Et puis on a inventé le pistolet. Peindre au pistolet apportait quelque chose de définitif et radical. Et maintenant, à l'ère terroriste, on peint à la bombe, dans la ville, dans le métro. Le graffiti anonyme qui saute au coin de la rue...»
ces quelques lignes m'ont donné envie d'en savoir plus, et après 5 pages, je suis déjà accro.